domingo, outubro 09, 2011
"«Ma vie.» Quand je pense à ces mots, je vois devant moi un rayon de lumière. Et, à y regarder de plus près, je remarque que cette lumière a la forme d`une comète et que celle-ci est pourvue d`une tête et d`une queue."
Começa assim Les Souvenirs m`observent, de Tomas Tranströmer, original de 1993 e traduzido para o francês, Le Castor Astral, em 2004. É um belo título, tal como Ce que nous voyons, Ce qui nous regarde (1992)(Dafne: O que nós vemos, O que nos olha, 2011) de Georges Didi-Huberman.
Escreve no posfácio Jacques Outin, responsável também pela tradução: "Les Souvenirs m`obserbent s`achève à la parution des premiers poèmes dans le journal du collège de Söder en 1948, avec une évocation hâtive du recueil 17 poèmes, qui sera édité en 1954.
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Le manuscrit des Souvenirs m´observent, rédigé durant les années 1980, était á l`origine dédié aux deux filles de l`auteur.
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Ce n´est qu`après de nombreuses hésitations que Tranströmer accepta que soit publié cet unique ouvrage en prose, qui représent pour le lecteur un véritable sésame de l´oeuvre poétique. Édité en 1993, il fut jusqu`à ce jour traduit en une dizaine de langues européennes.
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Sa poésie trouva peu à peu une source d´inspiration dans des situations concrètes, voire quotidiennes. Et, comme il le constata lui même, bien des années plus tard: «En fait, je n`invente jamais rien. Et je ne mens jamais à propos de l`invironnement du poème.»"
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posted by Luís Miguel Dias domingo, outubro 09, 2011